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Blogues • 21.02.24

Éliminez le risque lié au travail forcé dans votre chaîne d’approvisionnement

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Jusqu’à présent, la reddition de comptes sur le travail forcé et le travail des enfants était facultative, mais face à l’ampleur du problème, celle-ci est devenue obligatoire. Ici, en Amérique du Nord, nous avons été lents à adopter des stratégies pour lutter contre ce fléau. Mais en 2024, avec l’entrée en vigueur de la loi canadienne sur la lutte contre le travail forcé et le travail des enfants, les entreprises devront prouver leur engagement avec des données et des preuves tangibles. Qui sera concerné, exactement?

La nouvelle loi affectera une bonne proportion des entreprises et exigera une surveillance accrue de la gestion des sous-traitants, ainsi qu’une plus grande responsabilisation en cas de lacunes. Les entreprises devront fournir des rapports annuels sur la manière dont elles abordent les risques liés au travail forcé et au travail des enfants dans leurs chaînes d’approvisionnement, en expliquant ce qu’elles font pour identifier et atténuer ces risques. Elles devront également montrer les mesures proactives qu’elles prennent si des risques sont détectés.

Car ceux-ci ne peuvent être ignorés. Si votre situation n’est pas conforme ou si vous ne fournissez pas d’informations à jour sur les efforts que vous déployez pour réduire les risques liés au travail forcé, vous vous exposez à des sanctions financières et à une atteinte à votre réputation dont il pourrait être difficile de vous remettre.

Les amendes peuvent atteindre 250 000 $, et vous pouvez même faire l’objet de condamnations pénales. De plus, il ne vous reste que peu de temps pour rendre votre entreprise conforme.

Pourquoi agir dès maintenant?

En ce qui concerne la nouvelle loi, les choses vont commencer à bouger très rapidement en 2024. Les premiers rapports sont attendus pour le 31 mai 2024 – il est donc préférable de s’y préparer dès que possible. Cela vous permettra de vous assurer que tout est prêt et en place pour une transition en douceur vers l’ère de la Loi sur la lutte contre le travail forcé et le travail des enfants dans les chaînes d’approvisionnement.

Que puis-je faire pour commencer?

Il existe de nombreuses mesures pratiques que vous pouvez prendre immédiatement pour rendre votre entreprise plus conforme. Tout d’abord, vous pouvez sélectionner vos sous-traitants de manière plus responsable afin de vous assurer que votre chaîne d’approvisionnement est éthique et exempte de corruption. Pour ce faire, vous pouvez :

  • Effectuer des contrôles ponctuels et des audits sur les nouvelles embauches;
  • Ne pas imposer d’exigences déraisonnables qui pourraient les inciter à tourner les coins ronds;
  • Favoriser le commerce équitable et durable.

Parallèlement, vous devriez également rechercher un partenaire qui puisse vous aider à rendre des comptes en matière de conformité, afin de vous décharger de la tâche de produire de nouveaux rapports liés à la nouvelle loi et de vous permettre de vous consacrer à autre chose. Alcumus SafeContractor est un fournisseur de premier plan en matière de solutions technologiques pour la gestion du risque, fournissant à sa clientèle des conseils, de l’expertise et du soutien pour l’aider à identifier et minimiser les risques, s’orienter dans les questions de conformité et assurer la sécurité des personnes.

N’oubliez pas d’intégrer vos sous-traitants à votre démarche de conformité ESG. Cela vous permettra de vous assurer que tout le monde est sur la même longueur d’onde en matière de conformité et vous aidera à maintenir votre chaîne d’approvisionnement dans son ensemble sur la bonne voie.

Pour en savoir plus, consultez notre prochain billet de blogue, qui vous expliquera exactement comment mobiliser votre chaîne d’approvisionnement.

Notre dernier guide

Téléchargez notre dernier guide, » Conformité : c’est l’heure d’agir», pour connaître les mesures pratiques que vous pouvez prendre pour vous préparer à la nouvelle loi.

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